Et voilà encore un abus comme nous les détestons !
En effet, nous savons bien qu’il existe de nombreux cabinets de syndic qui nous détestent car ils savent que nous sommes la seule association à dénoncer leurs abus et illégalités sur la place publique.
Mais rassurons-nous, en parallèle il y a beaucoup de syndics et surtout des gestionnaires qui nous « kiffent » car ils savent pertinemment que nous sommes salutaires aussi bien pour la profession et pour le bien-être des gestionnaires.
En parallèle, nous avons des syndics qui ont peur de l’ARC Nationale surtout lorsque l’on débarque dans leur bureau pour contrôler les comptes de la copropriété qu’ils gèrent en présence du conseil syndical du fait qu’ils n’ont pas la conscience tranquille compte tenue des factures abusives ou légales imputés, ou alors aux rapprochements bancaires approximatifs.
Il semble que nous sommes tombés sur ce type de syndics qui est prêt à tout, mais vraiment à tout, pour que le conseil syndical n’ait plus de lien avec notre association.
Mais comme nous allons le constater, la combine a non seulement échoué mais en plus elle se trouve être en première page de notre rubrique « Abus », peut-être pendant au moins deux semaines.
Allez, place à l’horreur en espérant être assignés pour expliquer au Juge comment certains syndics dits professionnels fonctionnent.
I – La résiliation de l’adhésion auprès de l’ARC Nationale actée dans le procès-verbal d’assemblée générale
En date du 13 juin dernier, nous avons eu un mail du cabinet Mathilde LEMIRE nous indiquant la formule suivante :
En prenant connaissance du procès-verbal, on peut lire en question 14, qui est un fourretout, la décision de résilier le contrat auprès de l’ARC Nationale qui, selon leurs dires, n’apporte rien.
Nous ne résistons pas à présenter la résolution qui est un véritable torchon puisque on retrouve dans cette même résolution : le montant de franchise pour le sinistre, la fréquence du nettoyage de la moquette ou bien encore de refaire un courrier au copropriétaire du 4ème étage et bien sur la résiliation de l’ARC Nationale.
Allez, sans plus tarder, place à la médiocrité en image :
L’abus aurait pu s’arrêter là mais voilà la médiocrité appelle la bassesse.
II – L’usage d’un faux
Voulant constamment nous améliorer, nous essayons toujours de contacter nos adhérents pour comprendre les griefs qu’ils ont à l’encontre de notre association. L’enjeu est d’autant plus important que les conseillers syndicaux ont considéré que l’adhésion à l’ARC Nationale n’apporte rien.
Voici donc leur réponse stupéfiante :
Et oui, tout est dit ! Le syndic nous a fait parvenir un procès-verbal qui n’est pas conforme à celui signé entre les deux parties.
Pire, la question de la résiliation du contrat auprès de l’ARC Nationale n’a même pas été évoquée !
Pour la beauté du geste voici la vraie question 14 avec la vraie résolution votée.