Nos adhérents (et l’ARC) sont formidables. « Diviser sa facture énergétique par deux, c’est possible »

29/11/2012 Actions Action

 Nos adhérents (et l’ARC) sont formidables. « Diviser sa facture énergétique par deux, c’est possible »

 
 
Voici un article simple du journal 20 minutes qui en quelques phrases explique comment un immeuble adhérent à l’ARC s’est lancé, avec l’ARC, dans une opération de division par deux de sa facture énergétique.
 
La recette est simple :
  • adhérer à l’ARC ;
  • faire son BÉS avec l’ARC (ou Bilan Energétique Simplifié) ;
  • se faire ensuite aider par l’Agence locale de l’environnement ou un Espace Info-Energie  (en l’occurrence (l’Agence Parisienne du Climat, APC).
D’ailleurs, depuis, nous avons amélioré notre aide aux adhérents puisque nous les aidons à faire un B.I.C. (Bilan Initial de Copropriété) qui intègre le Bilan Energétique Simplifié (BES).
 
Pour savoir ce qu’est le B.I.C., vous pouvez d’ailleurs aller sur ce lien :
 
Voici l’article de « 20 minutes » :
« C'était l'objectif de Gérard Andriëux, propriétaire d’un trois-pièces dans le 12è et membre d’un conseil syndical adhérent à l’ARC.  L'enjeu était de convaincre les autres copropriétaires », explique-t-il. Son immeuble abrite 107 logements et quatre commerçants.
Des aides multiples      
Il entre alors en contact [avec l’ARC, avec qui le conseil syndical réalise un BES (Gratuit), Bilan Energétique Simplifié puis, naturellement, avec l'Agence parisienne du climat (APC)]. « Ils nous ont tout expliqué et nous ont conseillé de débuter par un audit énergétique. Les copropriétaires l'ont accepté facilement, parce que 70% du coût est pris en charge par l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), la Ville de Paris et la région ».
 
 Pour faire passer la facture énergétique de la copropriété de 90000 à 45000 € par an, le conseil syndical décide de rénover la toiture-terrasse, d'installer une isolation-thermique par l’extérieur, de changer les 400 fenêtres,  d'installer des régulateurs sur le chauffage et d’installer des lampes basses consommations dans  les parties communes. Montant des travaux 800 000 €. Entre les subventions régionales, les crédits d'impôt et les certificats d'économie d'énergie, la facture tombe à  8000 € par foyer.  Le retour sur investissement prendra environ une dizaine d'années.
 
« Les travaux, lancés en juin, s'achèveront en janvier 2013. Et Gérard de se réjouir d'avoir fait école : « Les deux immeubles voisins viennent de se lancer dans des démarches équivalentes».