Pour se donner bonne conscience, beaucoup de syndics professionnels affirment que l’ARC Nationale est avant tout une association qui a pour objet de faire du bashing syndic.
Par conséquent, nous sommes les pestiférés, étant plus intéressant pour eux de développer des partenariats avec d’autres associations qui sont moins polémiques, et avec lesquelles ils ont convenu des accords pour récupérer des marchés de formation ou carrément des adhérents.
A titre d’exemple, une association située en province a indiqué aux syndics professionnels qu’il était dans leur intérêt d’aiguiller les conseillers syndicaux à adhérer auprès de leur association, sachant qu’ils ne produiront pas d’abus et critiques sur eux.
Alors, l’ARC Nationale doit-elle suivre la même voix pour continuer à avoir des adhérents ou bien garder son ADN ?
Essayons d’apporter une réponse selon deux prismes.
I – Une absence de contre-pouvoirImaginez que demain l’ARC Nationale ne diffuse plus d’abus.
Qui alors dénoncera les pratiques illégales commises quotidiennement par les groupes comme FONCIA, CITYA et autres marchands ?
Sans publication d’abus, comment faire pression auprès des syndics professionnels et des grands group...
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