Certaines personnes mal intentionnées voient l’ARC Nationale uniquement à travers sa réussite économique ou médiatique sans prendre en considération les nombreux défis et actions que nous menons dans l’intérêt des copropriétés.
Les vrais « Arciens » qui suivent l’activité de notre association savent pertinemment que l’ensemble des collaborateurs travaille d’arrache pieds pour répondre au mieux aux attentes de nos adhérents créant d’une année sur l’autre, une confiance de plus en plus grande.
En parallèle, nous ne sommes pas aimés des professionnels qui ont à présent comme stratégie de nous boycotter et même de nous assigner en justice afin de réduire notre crédibilité. Bon courage !
Essayons d’analyser la situation pour mieux comprendre pourquoi leur action n’aboutira à rien et même renforcera l’’adhésion de nos adhérents.
I- Un manque de courage des professionnels
Même si aucun professionnel ne l’avoue, l’ARC Nationale est identifiée par les Parlementaires et surtout par les Pouvoirs Publics comme étant la seule structure représentative des syndicat des copropriétaires.
En effet, plusieurs enquêtes diligentées par différents ministères ont confirmé notre place de représentant des syndicats des copropriétaires.
Malgré ces faits implacables, les professionnels se sont convenus pour ne donner aucune visibilité à l’ARC Nationale, histoire d’éviter que l’on grandisse encore.
Ils réalisent des colloques qui concernent directement les enjeux de la copropriété sans pour autant inviter l’ARC Nationale.
Ainsi, ils abordent des sujets sur la réforme de la loi du 10 juillet 1965 tout en préférant discuter entre eux plutôt qu’avec notre association qui aura une analyse critique mais constructive à la hauteur des difficultés que rencontrent actuellement les syndicats des copropriétaires.
Et oui, il ne manquerait plus qu’ils entament un débat ou une réflexion avec une association qui connaît les sujets et pire encore les abus pratiqués par les syndics pouvant les mettre en porte à faux en plein direct.
Ainsi, pour savoir si un professionnel est indépendant et non influençable, il suffit de savoir s’il est prêt à partager un débat avec l’ARC Nationale. Il le sait bien, le risque est qu’il soit très rapidement décrédibilisé.
D’ailleurs, nous regrettons qu’un homme Henry BUZY-CAZAUX a succombé à la pression des grands groupes en se résignant à ne pas interroger l’ARC Nationale sur l’avenir de la profession de syndic alors même qu’en parallèle il a interrogé une association belge.
II – La rançon de la gloire
Parfois, il vaut mieux être seul que mal accompagné.
En effet, nous préférons ne pas être aimés des professionnels et en particulier des syndics qui, entre nous, ne s’aiment pas entre eux, plutôt que de trahir la confiance de nos adhérents.
En effet, ils nous le disent bien « Il y a encore très peu de gens comme vous, bravo continuez », un franc parler sans compromis quand la copropriété est lésée.
Certes, cela entraîne parfois quelques désagréments ; insultes, procès, dénigrement qui émanent des professionnels mais en face nous avons cinquante « merci » par jour nous permettant de nous revigorer pour faire encore toujours plus à destination de nos adhérents.
Alors, profitons de cet article pour remercier très chaleureusement l’ensemble de nos adhérents et même nos détracteurs qui nous permettent malgré tout de nous positionner dans le monde de la copropriété.
Enfin, on peut remercier également certains cabinets de syndic et même des ministères qui ne craignent pas la polémique et qui assument échanger avec nous.
Chut, faut pas trop le dire, ils risquent de subir eux-mêmes des pressions à l’instar de l’actuel Ministre du Logement.