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Annonces concernant les ARC locales et régionales et l’UNARC

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Annonces concernant les ARC locales et régionales et l’UNARC

 

 

Nous vous informons des deux changements importants concernant les ARC locales et régionales, à savoir que :

 

  • l’URCRC devient l’ARC Loire, Haute-Loire, intervenant sur les départements 42 et 43 ;

 

  • l’ARC ROUSSILLON/ADCEN GRAND SUD 66, - suite à décision de l’UNARC -  ne fait plus partie de l’UNARC.

 

L’ARC dans Intérêts Privés : point sur les copropriétés en difficulté et le nouveau guide de l’ARC qui traite de ces questions

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L’ARC dans Intérêts Privés : point sur les copropriétés en difficulté et le nouveau guide de l’ARC qui traite de ces questions

 

La dernière édition « d’Intérêts Privés » (revue 707 de mars 2013) consacre un article de plusieurs pages à la question des copropriétés en difficulté.

Cet article (que nous ne pouvons pas vous citer entièrement puisqu’il est réservé aux abonnés de cette revue) fait largement référence à l’action de l’ARC et au guide consacré à ces questions, publié par l’ARC en octobre 2012 (voir la présentation du guide dans notre LIBRAIRIE).

Voici les principaux extraits de cet article intitulé « COPROPRIÉTÉS : PRÉVENEZ LES DIFFICULTÉS »

« Des charges impayées, un syndic absent ou des travaux lourds peuvent causer des problèmes graves dans les copropriétés, avec comme conséquence une dégradation de l'immeuble, des frais élevés et une dévalorisation des appartements à terme. Voici nos conseils afin d'éviter cette situation. »

« Façades lézardées, ascenseurs en panne, escaliers miteux, chauffage poussif.... Cela n'arrive pas qu'aux autres... Estelle Baron, chargée de mission copropriétés en difficulté à l'Association des responsables de copropriété (ARC)  [et auteur d’un guide sur le problème] (1) l'a constaté : « Les copropriétés en difficulté ne se limitent pas aux barres situées dans des quartiers difficiles, mais concernent des immeubles variés et plus nombreux qu'on ne le pense. » Ce phénomène a tendance à prendre de l'ampleur. Les raisons tiennent souvent à l'âge des bâtiments. 38 % des logements en copropriété ont été construits entre 1950 et 1980 et commencent à avoir besoin de travaux de rénovation. Ces immeubles sont, en outre, très mal isolés, ce qui rend les charges de copropriété très élevées en raison de l'augmentation du prix de l'énergie avec, à la clé, une situation financière fragile. »

  1. « Traiter les copropriétés fragiles ou en difficulté: comment prévenir, agir et guérir » ARC Vuibert. 2012, 150 pages, 11 €.

(…)

« DÉCELER LES PROBLÈMES DE SA COPROPRIÉTÉ

Mais comment savoir si la copropriété dans laquelle on habite se porte bien financièrement ? L'ANaH et l’ARC pointent les signes avant-coureurs des difficultés qui doivent faire réagir. Il peut s'agir d'abord d'un grand nombre d'impayés de charges avec comme conséquence un endettement de la copropriété vis-à-vis des principaux fournisseurs ou prestataires (chauffage, électricité, etc.).

 

La liste des impayés figure dans les documents comptables remis aux copropriétaires avant l'assemblée générale annuelle. S'ils sont importants, les budgets votés chaque année sont généralement surévalués afin de tenter de combler les déficits, ce qui aboutit à taire payer davantage les copropriétaires de bonne foi. Cette situation conduit à des charges particulièrement élevées et disproportionnées par rapport aux services rendus. « Nous n'avions plus aucun ménage des parties communes, les ampoules n'étaient plus changées et les occupants faisaient eux-mêmes le nécessaire alors que les charges qu'on nous demandait étaient très élevées », témoigne Patricia, copropriétaire dans un petit immeuble au Bourget (93). »

( …)

« RESTAURER LA GOUVERNANCE

Un copropriétaire qui pense être menacé par ces difficultés doit commencer à agir et contacter une association de défense des copropriétaires. »

(…)

« En fonction de la situation, il sera peut-être nécessaire de convoquer une assemblée générale, éventuellement de nommer un nouveau syndic et d'élire un conseil syndical. En effet, dans les copropriétés en difficulté, les rouages principaux que sont le syndic et le conseil syndical qui représente les copropriétaires n'existent plus ou ne fonctionnent plus efficacement. Il faut réinstaurer la gouvernance de la copropriété. »

« PENSER À LA PROCÉDURE D'ALERTE

Si la solvabilité de la copropriété est vraiment pré­caire, il faut alors envisager d'utiliser la procédure d'alerte qui existe depuis mars 2009 (article 29-1 A et B de la loi du 10 juillet 1965). Elle permet au président du tribunal de grande instance de mandater un expert ad hoc avec mission d'analyser la situation financière et l'état de la copropriété, de préconiser des solutions permettant de rétablir l'équilibre financier du syndicat des copropriétaires et la sécurité de l'immeuble. Le syndic est tenu de déclencher cette procédure si le taux d'impayés concernant les charges courantes et les appels de fonds travaux atteint 25 % des sommes exigibles. »

(…)

« En pratique, les syndics n'actionnent jamais cette procédure encore mal connue et, d'ailleurs, il n'existe pas de liste fiable d'experts compétents... Néanmoins, en se rapprochant d'une association de défense des copropriétaires, il est possible de savoir à quel expert faire appel. Cela permet aussi  de commencer à alerter la mairie de la situation. L'expert désigné est généralement payé par le syndicat des copropriétaires, mais si le syndic est considéré comme responsable des dérives de la copropriété, les copropriétaires peuvent demander que les frais soient mis à sa charge. »

« L'ADMINISTRATION JUDICIAIRE... À ÉVITER !

« (…) cette procédure coûte très cher à la copropriété et peut durer des années ! Elle consiste à saisir le tribunal de grande instance (TGI) pour faire nommer un administrateur provisoire quand l'équilibre de la copropriété est gravement compromis. (…)

Sa mission est de prendre les mesures nécessaires au rétablissement du fonctionnement normal de la copropriété. (…)

L'administrateur rend compte de sa mission par écrit et il peut solliciter auprès du juge la fin de sa mission ou bien faire une demande de renouvellement. Parfois les renouvellements peuvent conduire une copropriété à rester sous administration judiciaire pendant de longues années, ce qui n'arrange pas ses finances : la rémunération de l'administration judiciaire étant à la charge de la copropriété. « Il est difficile de chiffrer le coût d'une telle procédure, mais on pense que cela revient de 1,5 à 3 fois plus cher que les honoraires d'un syndic ». Explique Bruno Dhont, directeur de l'ARC. Prévenir la dégradation d'une copropriété est donc fondamental et les associations de copropriétaires militent pour que la procédure d'alerte soit simplifiée et les experts ad hoc mieux formés. Surtout, elles plaident pour que la récupération des impayés auprès des copropriétaires responsables soit plus aisée. Avec l'augmentation des difficultés, les pouvoirs publics auraient en effet intérêt à s'attaquer à ce problème. »

Si vous êtes abonnés à la revue « Intérêts privés » vous pourrez retrouver en détail tous les conseils donnés dans cet article, et sinon, il ne vous reste plus qu’à vous procurer le guide de l’ARC qui aborde tous ces sujets en détail, ainsi que les propositions de l’ARC pour améliorer les dispositifs existants.

Pour découvrir ce guide, voir la présentation dans notre LIBRAIRIE (http://arc-copro.fr/?q=librairie/traiter-les-copropri%C3%A9t%C3%A9s-fragiles-ou-en-difficult%C3%A9-comment-agir-pr%C3%A9venir-et-gu%C3%A9rir

 

Revue de l’ARC et de l’UNARC : numéro 100, vous pouvez vous abonner

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Revue de l’ARC et de l’UNARC : numéro 100, vous pouvez vous abonner

 

Vous voulez découvrir la couverture du numéro 100 de notre revue ? La voici :

 

 

 

 

Vous voulez maintenant savoir ce qu’il y a dans ce « numéro 100 » ?

En voici le sommaire :

 

 

 

 

Vous voulez vous abonner ou abonner d’autres membres du conseil syndical à cette revue entièrement renouvelée ? C’est simple : voici un bulletin d’abonnement : si vous voulez être destinataire du numéro 100, dépêchez-vous :

Abonnement à la revue de l’ARC et de l’UNARC

 

 

 

1. Abonnement supplémentaire pour les copropriétés déjà adhérentes :

 Numéro d’adhérent :....................................................................................

 Nom et adresse de la personne à qui adresser la revue :

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............................................................................................................................

 Nom et adresse de facturation :

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20 € pour 4 numéros (frais de port compris)

 

 

 

 

 

2. Abonnement pour les personnes non adhérentes :

 Nom et adresse de la personne à qui adresser la revue :

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 Nom et adresse de facturation :

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24 € pour 4 numéros (frais de port compris) chèque à l’ordre de l’ARC

- 27, rue Joseph Python - 75020 Paris

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nouveau : ouverture d’un compte TWITTER UNARC-copropriété

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Nouveau :

ouverture d’un compte Twitter unarc-copropriété

 

 

L’ARC et l’UNARC ont décidé d’ouvrir un compte Twitter qui sera alimenté chaque jour et vous informera ainsi en temps réel de l’actualité du monde de la copropriété ou des initiatives de l’ARC qui peuvent vous concerner et vous aider.

 

 

UNARC-copropriété

 


 

N’hésitez surtout pas à informer vos voisins de cette bonne nouvelle.

 

Pour ouvrir un compte Twitter si vous n’en avez pas encore un, rendez-vous sur twitter.com

 

À très bientôt, j’espère...

Fernand CHAMPAVIER

Président de l’ARC

 

Ville de Paris et atelier « Planète Copropriété » sur la Copropriété et la « biodiversité » : rendez-vous le 22 mai

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Ville de Paris et atelier «Planète Copropriété» sur la Copropriété et la « biodiversité : rendez-vous le 22 mai 

INSCRIVEZ-VOUS EN LIGNE...

Depuis quelques mois, l’association Planète Copropriété - association d'acteurs de la rénovation énergétique et de spécialistes des problèmes de gouvernance en copropriété, dont l’ARC est un des membres fondateur - s’est dotée d’un groupe de travail dit  "Copropriété Biodiversité".
Le but de ce groupe de travail est de favoriser des interventions cohérentes et généralistes, en saisissant l’opportunité de  l’adaptation des immeubles en site urbain dense aux exigences thermiques pour favoriser le développement de la nature en ville, s’adapter au  développement durable, favoriser la biodiversité.
 
Les travaux de ce groupe de travail seront dévoilés lors d’un colloque organisé avec la Ville de Paris :
 
le mercredi 22 mai 2013 à la Maison des Acteurs du Paris Durable,
21 Rue des Blancs Manteaux 75004 Paris,
de 9h30 à 11h30 (Entrée libre).
 
Ce colloque sera consacré à l'élaboration et au suivi des "PLANS BIODIVERSITE" dans les copropriétés.
 
En effet, la Ville de Paris s'est doté d'un PLAN BIODIVERSITE et souhaite collaborer avec les copropriétés privées pour leur faire part :
  • de ses réalisations sur les jardins et espaces verts publics pour conserver  et améliorer le bénéfice de la biodiversité, ainsi que de ses aides possibles pour entretenir les jardins parties communes ou les balcons des copropriétés et conseiller ainsi pour favoriser la biodiversité en ville ;
  • de la plantation des espèces favorables à l'interaction faune et flore recommandées par la Ville de Paris (Maison Paris Nature), économiser l'eau, privilégier les engrais naturels, revaloriser les déchets verts, permettre le développement d'une faune protégée, etc. (ce sont, les grandes lignes d'une charte biodiversité pour les copropriétés qui sera commentée dans ce colloque qui laissera place au débat avec la salle).
  • Une importante copropriété parisienne viendra parler de son "PLAN BIODIVERSITE" réalisé avec l'aide de la Ville.
  • Enfin, le groupe de travail "Copropriété Biodiversité" de Planète Copropriété présentera dans ses grandes lignes, son projet de "GUIDE BIODIVERSITE COPROPRIETE" à l'usage des syndics, conseillers syndicaux et copropriétaires. 
C'est par le plaisir lié au végétal que Planète Copropriété veut mobiliser les copropriétaires vers le respect de l'environnement et les économies de ressources que sont l'eau, le sol, l'énergie, et la valorisation des déchets végétaux tout en favorisant la biodiversité, et les économies permettant de réduire les coûts d'entretien du jardin et des espaces verts de la copropriété. 
 

L’ARC et le numéro 500 de JURIShebdo

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 L’ARC et le numéro 500 de JURIShebdo
 
 
Pour son numéro 500, la revue JURIShebdo - revue spécialisée en droit immobilier - a demandé à quinze personnalités ou organisations nationales d’écrire un article sur la situation actuelle de leur secteur et les perspectives. Sur ces quinze organisations, une seule représente le monde de la copropriété : l’ARC.
 
Voici l’article que nous avons rédigé et adressé au rédacteur en chef de cette revue et qui vient d’être publié. Comme vous allez le voir, après la présentation de la situation (très noire), nous dressons un tableau des perspectives que nous pensons prometteuses, malgré le pessimisme ambiant.
 
Nous reviendrons bientôt sur tous les « chantiers » dont nous parlons dans cet article pour donner une première idée de ce que nous commençons - à l’ARC et à l’UNARC - à faire en partenariat actif avec tel ou tel.
 
Voici l’article :
 
"Vive la crise!"
 
La crise est là et la copropriété est en crise.
La crise c'est à la fois une expérience très dure pour tous, mais c'est aussi sans doute le seul moyen d'avancer et de traiter les problèmes en apparence insolubles qui empoisonnent la vie des copropriétés et des copropriétaires depuis des années.
Il y a trois séries de problèmes plus préoccupants que les autres, en particulier. Et nous voudrions les passer en revue en indiquant ensuite comment - selon nous - la crise est déjà en train de nous aider à les résoudre et nous permettre d'aller au-delà du miroir.....
I. Les gros travaux et la rénovation énergétique
Le premier problème, c'est le blocage formidable des copropriétés en terme de gros travaux et de travaux de rénovation énergétique. Alors que le Grenelle 1 (ndlr: loi n° 2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l'environnement) a fixé une baisse des consommations énergétiques dans le résidentiel à moins 38 % pour 2020, nous atteindrons sans doute à peine moins 10 %. Une catastrophe.
Pendant le même temps, les gros travaux d'entretien indispensables dans les trois à cinq millions de logements en copropriété concernant les immeubles vieillissants ne sont pas faits ou sont faits très partiellement. Comment faire pour éviter l'inévitable catastrophe ?
 
II. Les syndics de copropriété
Le deuxième problème est le problème syndics et leur formidable incapacité à « gérer » les copropriétés dans de bonnes conditions : transparence, efficacité, proximité, maîtrise. Au lieu de cela, concentration, deux mots qui expliquent les pathologies qui frappent le secteur. Et leurs conséquences, des gestionnaires surchargés, dépassés, justes capables d'assurer le minimum pendant que les financiers des groupes font de belles et dangereuses affaires, URBANIA qui a failli voler en éclat, FONCIA racheté par un fonds d'investissement, CITYA qui renoue avec la croissance externe mortifère pour les copropriétés...
Là aussi, comment faire pour empêcher le désastre ?
 
III. Les copropriétés fragiles et en difficulté
 
Le troisième problème est encore plus angoissant, c'est le défi des copropriétés dites fragiles et en difficulté, phénomène en accélération vertigineuse. Dérive des charges, impayés en augmentation, dévalorisation financière accélérée de certaines zones, précarisation d'une partie croissante des copropriétaires (retraités, primo-accédants, chômeurs), tout pousse au désastre.
 
Mais comment faire? Crise des travaux et du gros entretien, dérapage des charges, crise des syndics, crise des copropriétés fragiles et en difficulté.
Tout ceci donne envie de refermer la porte et d'aller voir ailleurs. Et pourtant c'est peut-être de cette multi-crise que vont finir par émerger les solutions.
Les oppositions s'apaisent, des partenariats se nouent, des solutions combinées se mettent en place, les uns écoutent enfin les autres.
Il y a peu le Président de l'ARC, Fernand Champavier, le Président de l'UNIS, Étienne Ginot et le Président de la FNAIM, Jean-François Buet pouvaient envisager ensemble des réunions de travail sur des sujets pourtant complexes et, il y a peu encore, polémiques. Rare.
 
Pour montrer que l'anti-crise est en marche, nous faisons le tour de ces actions communes de partenariales déjà engagées ou qui vont démarrer bientôt.
 
1. Premier chantier: pour contrer l'inertie en matière de gros travaux et de rénovation, il va FALLOIR mettre en place de façon généralisée des démarches et des méthodes nouvelles, des outils innovants.
 
Nous les connaissons déjà, ils sont en cours de construction ou de mise en œuvre :
  •  c'est le fonds travaux obligatoire déjà repris dans le projet de loi Duflot;
  •  c'est le B.I.C. (Bilan Initial de Copropriété) développé par Planète Copropriété et déjà utilisé par de nombreux acteurs;
-  c'est l'audit global partagé qui associe architecte et thermicien;
  •  c'est le « Quatre-quarts » pour boucler des plans de financements im-po-ssi-bles et associant CEE, fonds travaux, prêts collectifs, aides individuelles ou collectives;
  •  c'est les SEM régionales d'assistance;
  •  c'est la mobilisation des PME;
  •  c'est l'« étiquette charges »;
  •  c'est l'épargne collective avec le P.E.C. (Plan d'Épargne Copropriété); etc.
 
À l'ARC, nous voulons travailler ensemble avec tous ceux qui l'acceptent et ils sont nombreux : les banquiers, les opérateurs, les syndics, les architectes, les entreprises, les thermiciens, les associations diverses de tous horizons, les collectivités. Forcément nous allons trouver. Forcément.
 
2. Deuxième chantier: pour réguler la profession et les pratiques des syndics, il VA FALLOIR, comme chacun le sait, mettre en place des instances paritaires de contrôle, de discipline, d'encadrement, de formation, de déontologie.
 
Ce dont les professionnels ne voulaient pas entendre parler il y a encore deux ans devient aujourd'hui audible pour eux:
- des Hauts Conseils intégrant les représentants des usagers ; des instances paritaires de conciliation départementales; des commissions régionales disciplinaires ; la mise en place de référentiels professionnels définis avec les usagers ; des comptes séparés sans dérogation;  la rédaction de codes la mise en place de référentiels professionnels définis avec les usagers; des comptes séparés sans dérogation;  la rédaction de codes de déontologie concertés.
 
Nous faisons le pari qu'avant la parution des décrets de la loi DUFLOT des instances expérimentales seront déjà en place pour permettre de lancer le travail.
3. Troisième chantier: enfin pour prévenir les difficultés et guérir les copropriétés il faut - là aussi - des méthodes, des compétences, des partenariats nouveaux.
Ceux-ci sont en train d'émerger. Des collectivités territoriales, des opérateurs, des associations, des réseaux sociaux, des syndics, des agences d'État comme l'ANAH mettent en place des propositions innovantes et partenariales:
  •  un groupe de travail sur le syndic de redressement va se mettre en place ainsi que sur l'identification et le développement des compétences des mandataires ad hoc;
  •  des outils nouveaux pour redresser les copropriétés en difficulté vont être expérimentés (contrat de requalification; coopérative de reconstruction...) ;
  • les Observatoires locaux des copropriétés poussent comme des champignons; des outils nouveaux d'intervention y compris des Observatoires locaux des charges pour maîtriser les charges se mettent en place avec les collectivités; des dispositifs d'accompagnement - dès le début de la conception ou de la mise en route des immeubles - sont en gestation.
Là encore « nécessité fait loi », « nécessité rend ingénieux » et force à trouver les voies d'un traitement partenarial efficace.
 
La crise? Pas seulement, aussi un champ d'inventions et de développement de relations multi-partenariales inespéré. Un renouveau. Un espoir. Et, pour nous, surtout la fierté d'« en être ».
 
Vive cette dynamique de crise. Et qu'on en sorte vite et renouvelé ».
 

L’ARC et la Ville de MEAUX : 6 Formations pour les copropriétaires

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L’ARC et la Ville de MEAUX : 6 Formations pour les copropriétaires

Six formations sur le fonctionnement de la copropriété, le rôle du conseil syndical et l’organisation d’une campagne de travaux efficace ont été mises en place par la Ville de MEAUX, en Seine-et-Marne, en collaboration avec l’Association des Responsables de Copropriété.

I. Une première intervention très prometteuse

II. À MEAUX, la copropriété on la préfère bien gérée : une série de 5 formations déjà programmées.

 

Téléchargez l'article complet sur ces formations ci-dessous

 

Le Salon de l’ARC et de l’UNARC 2013 sera d’abord le Salon des Conseils syndicaux et des syndics bénévoles

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Le Salon de l’ARC et de l’UNARC 2013 sera d’abord le Salon des Conseils syndicaux et des syndics bénévoles

 
 
Oui, cette année nous avons décidé de répondre tout particulièrement aux besoins et questions :
 
  • des conseils (et des conseillers) syndicaux ;
  • des syndics bénévoles.
 
Pourquoi ?
 
Parce que c’est sur eux que repose en partie la « bonne gestion » d’une copropriété et qu’il est donc normal de les aider prioritairement.
 
C’est pourquoi cette année :
 
  • les guides gratuits (douze guides gratuits),
  • les ateliers ARC-UNARC ;
  • les ateliers professionnels,
  • les conférences plénières,
 
seront particulièrement centrés sur les questions des conseils syndicaux et syndics bénévoles avec le service de leur apporter les réponses les plus simples, les plus complètes, les plus pratiques. Voir le site : www.salon-copropriété-arc.fr
 
 
Mais naturellement ce Salon reste ouvert à TOUS les copropriétaires et à TOUS les syndics professionnels qui souhaitent améliorer leur connaissance et compétences au service des copropriétaires.