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Plan d’Épargne Copropriété. Qu’est-ce qu’on attend ?
Plan d’Épargne Copropriété. Qu’est-ce qu’on attend ?
- le Livret A est plafonné à 76.500 € ;
- pour les autres placements (SICAV ; comptes à terme) chaque copropriétaire est obligé de déclarer lui-même les intérêts générés, ce qui créé des complications voire des surcoûts (honoraires de syndics) paradoxaux (les coûts sont souvent supérieurs aux intérêts...).
- d’une part il existe très peu de « fonds travaux » ;
- d’autre part les copropriétés qui ont mis en place des fonds travaux ont à faire face à de grandes complexités en matière de placement et de déclaration fiscale.
- ne coûterait pratiquement rien à l’État ;
- pourrait permettre de déclencher des milliards de travaux.
- Les sommes en jeu :
- si chaque copropriétaire met 100 euros de côté dans un fonds travaux chaque année (soit 5 % du montant moyen des charges) cela fait chaque année seulement 800 millions d’euros « placés » sur des Plans d’Épargne Copropriété.
- Par contre ces 100 euros peuvent - au bout de trois ans - entraîner 10 à 20 fois plus de travaux, soit 8 à 16 milliards de travaux
Le conseil syndical et l’audit énergétique obligatoire. Le saviez-vous ?
Le conseil syndical et l’audit énergétique obligatoire.
Le saviez-vous ?
Le conseil syndical dispose de trois droits nouveaux en matière d’audit énergétique obligatoire (arrêté du 28 février 2013) :
- avant le choix du bureau d’études, il DOIT être destinataire des références et de l’attestation de compétence des auditeurs ;
- pendant l’audit il DOIT être associé à la visite sur site (parties communes, chaufferie) mais aussi à la visite des logements témoins ;
- enfin, à la fin de l’audit, il DOIT être invité - avant l’assemblée générale - à une réunion de restitution de l’audit, de présentation des scénarios possibles de travaux et de discussion avec les auditeurs.
Ces trois nouveaux droits sont très importants, car un audit qui est fait sans un conseil syndical - lui-même bien en relation avec les copropriétaires - ne sert strictement à RIEN.
C’est cela - et beaucoup d’autres choses - que vous découvrirez dans le guide gratuit : « Audit énergétique obligatoire en Copropriété : Comment obtenir un audit efficace ? » (disponible à cette adresse : www.unarc.fr/yhdv )
5 € par lot principal et par an : c’est le prix moyen d’une adhésion collective à l’ARC. Découvrez tous les services et outils gratuits attachés à cette adhésion
5 € par lot principal et par an : c’est le prix moyen d’une adhésion collective à l’ARC.
Découvrez tous les services et outils gratuits attachés à cette adhésion


- Pour commencer : quatre guides gratuits à diffuser à tous les membres du conseil syndical
- Comment obtenir en permanence et par tous les moyens une réponse à toutes vos questions sur tous les sujets
- Pour aller plus loin : des consultations spécialisées sur rendez-vous.
- Cinq sites Internet gratuits à votre service
- Réduire vos charges : tous les guides, outils, services de l’ARC à votre disposition
- La coopérative de l’ARC réservée aux adhérents de l’ARC : mode d’emploi pour une utilisation optimum
- 46 guides gratuits à votre disposition et à celle de vos voisins
- Les bulletins trimestriels de l’ARC pour tous : comment faire ?
Sommaire du numéro 101 de la revue de l’UNARC
Sommaire du numéro 101 de la revue de l’UNARC
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ACTUALITÉ
- Travaux d’ascenseurs : une grande et double victoire de l’ARC
- Précision d’arrêt des ascenseurs
- L’ARC entre dans la Coalition France pour l’Efficacité Energétique
- Les interventions « ministérielles » de l’ARC et de l’UNARC
- Où en est le projet de la loi DUFLOT sur la copropriété ?
- Le PTZ (prêt à taux zéro) collectif : vrai serpent de mer ?
- Syndic de redressement : une nouvelle initiative très intéressante de l’ARC
Le Salon 2013 de l’ARC et de l’UNARC
- Le Salon « Indépendant » de la Copropriété de l’ARC et de l’UNARC des 16 et 17 octobre 2013
DOSSIER
- Vous voulez faire voter un prêt en copropriété : réponses à toutes vos questions en 16 points
DROIT
- Que prévoit l’arrêté du 5 février 2013 concernant la sécurité incendie dans les copropriétés ?
- La POSTE et les copropriétés
- Va-t-on vers des obligations de travaux « énergétiques » en copropriété ?
- Les plans de prévention ne sont pas obligatoires en copropriété : méfiez-vous
- Enquête ARC/UFC sur les contrats de syndic, les honoraires et les honoraires de syndic en cas de gros travaux
GESTION
- L’audit énergétique obligatoire et le DPE collectif : comment bien s’y prendre ?
- L’audit énergétique obligatoire en copropriété ou : le rôle essentiel du conseil syndical
- L’audit énergétique obligatoire : trois dispositions de l’arrêté du 28 février 2013
- Peut-on négocier un bon CPE en copropriété ?
- Un contrat de protection juridique négocié par l’ARC et qui reste imbattable
- Du contrat d’assurance au suivi du dossier sinistre
- Pourquoi mettre en place une Etiquette de Gestion Patrimoniale (EGP) ?
APPEL AUX ADHERENTS
- Campagne « OSCAR + » 2013
- Les syndics et les assurances : lancement d’une enquête
PARTENARIATS
- OSCARVILLE : fruit du partenariat PAP-ARC
VIE DE L’ASSOCIATION
- Le procès de « SYNDIC + » (SYNDIC PLUS)
- Tableau des ARC locales et régionales membres de l’UNARC
CHIFFRES & INDICES
PUBLICATIONS
FORMATIONS
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Une nouvelle collection et un nouveau concept de guides « gratuits »
Une nouvelle collection et un nouveau concept de guides « gratuits »
La nouvelle collection « Comment faire... » :
- traite un sujet précis par questions/réponses ;
- fournit toutes les références documentaires sur le site Internet de l’ARC ;
- fournit les références des textes applicables.
Pour le Salon 2013 de l’ARC et de l’UNARC (16-17 octobre 2013 à l’espace Charenton à Paris) nous sortirons les douze premiers guides gratuits : « Comment faire... ? »
Voici la liste des titres :
Comment faire ?
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Il faut plus de moyens pour le Tribunal d’Instance du RAINCY en Seine Saint Denis
Il faut plus de moyens pour le Tribunal d’Instance du RAINCY en Seine Saint Denis
- 25 autorisations de mise en vente depuis 6 ans ;
- mais surtout, de très nombreuses injonctions de payer de 10 à 30 par an.
- très peu cher pour la copropriété, puisqu'elles sont rédigées par le syndic (bénévole) et que c'est très facile à constituer lorsque l'administration de la copropriété est bien faite ;
- très rapide = le premier aller-retour au Tribunal d'Instance du Raincy se faisait en quatre semaines, quelquefois cinq ou six semaines.
redressement financier des copropriétés en difficulté, très nombreuses à Clichy-sous-Bois et en Seine Saint-Denis, et dont !e nombre s'accroît, passe nécessairement par un renforcement des effectifs concernés dans nos tribunaux de proximité, en particulier dans ses greffes.
Il faut réintroduire le « fonds travaux » dans la loi A.L.U.R. : le Conseil d’État a été insuffisamment « informé »
Il faut réintroduire le « fonds travaux » dans la loi A.L.U.R. : le Conseil d’État a été insuffisamment « informé »
- concernant la mesure elle-même et son impact ;
- concernant le contexte juridique ;
- concernant la situation actuelle des copropriétés.
- il a d’abord estimé qu’une obligation générale et systématique de provisionnement imposée à tout copropriétaire constituait une atteinte disproportionnée au droit de propriété, en particulier à la libre disposition de ses biens, ainsi qu’au principe de liberté résultant de l’article 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen ;
- il a ensuite estimé que cette obligation était incompatible avec l’objectif général de simplification du droit.
- Il convient d’abord de rappeler que – depuis le 31 décembre 2000 (Loi SRU) - toutes les copropriétés sont astreintes à voter chaque année un budget prévisionnel et à appeler auprès des copropriétaires des provisions pour les charges courantes visées par l’article 14-1 de la loi de 1965.
- Il convient ensuite de rappeler que la même loi SRU a défini par le biais de l’article 14-2 de la loi du 10 juillet 1965 (qu’elle a modifié ainsi que son décret d’application) une nouvelle catégorie de charges concernant les travaux dits « autres que les travaux de maintenance », c’est-à-dire des travaux de conservation ou d’entretien destinés à rénover les ouvrages, réseaux dégradés par le temps et équipements.
- La loi SRU n’ayant pas pu tout réformer d'un coup n’a prévu aucune obligation de de voter un budget provisionnel pour les travaux non courants, comme elle l’a fait pour les charges courantes.
- une logique de provisionnement des travaux de l’article 14-2, qui sont des travaux « certains » ;
- une logique de programmation de ces travaux.
- une prise en compte du gros entretien (travaux de l’article 14-2) ;
- une anticipation propice à la programmation et à la maîtrise des coûts.
- imposer la mise au point d’un plan pluriannuel tenant compte de l’usure du bâtiment et des équipements ;
- imposer la mise en place d’un calendrier d’appel de provisions permettant de faire face à ces dépenses.
- d’imposer la mise en place d’un fonds d’intervention minimum pour travaux de l’article 14-2 ;
- de fixer ce minimum à 5 % du budget prévisionnel de charges (en prenant pour exemple la législation du Québec de 1994...), ce qui revient à imposer un montant très faible.
- Pourquoi le principe de provisionnement pour travaux futurs de l’article 14-2 PRÉVU par l’avant projet de loi A.L.U.R. ne saurait constituer une atteinte DISPROPORTIONNÉE au droit de PROPRIÉTÉ ?
- Si le projet avait obligé les syndicats de copropriétaires à provisionner les sommes effectivement nécessaires et donc parfois importantes pour faire face entièrement à l’usure des bâtiments, de leurs réseaux et de leurs équipements, on aurait pu comprendre le Conseil d’État (c’est d’ailleurs certainement ce que les membres du Conseil d’État ont cru de bonne foi, faute d’avoir évalué le poids réel des 5 %).
- Or, une obligation d’avoir à provisionner une somme très faible pour des travaux certains et indispensables, obligation destinée à lever des blocages aujourd’hui de nature à mettre en péril l’intégrité de nombreuses copropriétés, ne peut être considérée comme une atteinte disproportionnée au droit de propriété (on va voir d’ailleurs que c’est plutôt le contraire qui est vrai).
- en facilitant le moment venu le financement pour tous, y compris les plus modestes ;
- en aidant à une anticipation adaptée, rigoureuse et maîtrisée financièrement des travaux de « conservation ».
- Pourquoi le dispositif envisagÉ contribuerait-il à assurer le droit des COPROPRIÉTAIRES à jouir librement de leur bien ?
- d’insalubrité voire de péril ;
- de précarité énergétique :
- plus généralement de mal-logement, pour reprendre la terminologie de la Fondation Abbé Pierre.
- Pourquoi ce projet va bien dans le sens de la simplification du droit et non dans le sens contraire comme le pense le Conseil d’État ?
- En fonction de l’article 18-5, si au cours des trois années suivant la décision, aucun travaux n’était fait, il faut rembourser les sommes ou faire revoter la création du fonds, vote pouvant s’avérer négatif ; l’article 18-5 est donc inapproprié et – de ce fait – très peu utilisé (à peine 5 % des syndicats de copropriétaires ont voté ce fonds selon une étude du PUCA réalisée en 2013) ;
- par ailleurs, les « provisions » visées par l’article 18-6 ont été déclarées par l’article 45-1 du décret être, non pas des « provisions » affectées au lot, mais des « avances » attachées à la personne et donc remboursables en cas de vente. Dès lors en cas de vente il faut rembourser l’avance et reconstituer celle-ci auprès de l’acquéreur, sans que celui-ci ait pu intégrer cette avance à son prêt !
- du caractère très modeste (voire symbolique) de la provision minimum pour travaux futurs de l’article 14-2 prévu par l’avant-projet de loi A.L.U.R. ;
- des blocages de plus en plus forts à l’engagement des gros travaux pour la majorité des copropriétaires, venant en partie du très fort turn-over dans les copropriétés, blocage susceptible de porter gravement atteinte aux conditions de jouissance de leur bien par les autres copropriétaires, donc au droit de propriété ;
- du fait que le système de provisions avait été instauré par la loi SRU pour les charges courantes et qu’il fallait donc enfin commencer à introduire un système de provisionnement AUSSI pour les travaux de l’article 14-2, ceci pour les mêmes raisons (prévisions, lissage, maîtrise) ;
- des défauts de l’actuel article 18-5 de la loi de 1965.
Le Nouvel Observateur, la SEM Posit’If et les adhérents de l’ARC
Le Nouvel Observateur, la SEM Posit’If et les adhérents de l’ARC
ABUS 3514 Syndic et assurance : notre premier dossier du mois d’août
ABUS 3514 Syndic et assurance : notre premier dossier du mois d’août
- Le promoteur de ce programme immobilier est AKEYRYS PROMOTION
- Le notaire a désigné comme syndic provisoire AKEYRYS SERVICES IMMOBILIERS par le règlement de copropriété
- AKEYRYS SERVICES IMMOBILIERS regroupant les métiers de la location a proposé aux investisseurs la gestion locative de leurs appartements
- BELVIA IMMOBILIER a choisi sa filiale de courtage en assurances THESEIS CAPITAL (filiale du groupe AKEYRYS) en toute illégalité puisqu’aucune autorisation préalable n’a été demandée en assemblée générale
- Le syndic BELVIA a mené pendant un an une gestion catastrophique ce qui nous a obligé à convoqué une AG extraordinaire afin d’aboutir à un vote unanime pour le révoquer
- nombreux copropriétaires nous ont fait part de leur mécontentement sur la gestion de leur bien (loyers impayés, logement vide, non prise en charge de l’assurance loyers impayés ...