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Tous les guides gratuits de l’ARC pour ses adhérents collectifs
Tous les guides gratuits de l’ARC pour ses adhérents collectifs
Nous venons de finir le tirage d’un très joli petit guide de 31 pages qui permet de connaître rapidement thème par thème :
- quels sont les 52 guides gratuits disponibles pour les adhérents collectifs de l’ARC ;
- quels sont les principaux dossiers très complets disponibles sur le site Internet.
Ce guide est téléchargeable sur le site à l’adresse suivante : www.unarc.fr/4jb4
À titre informatif, en voici le sommaire thématique et la présentation d’un double page :
LA COOPERATIVE TECHNIQUE ET LES ADHERENTS DE L’ARC
LA COOPERATIVE TECHNIQUE ET LES ADHERENTS DE L’ARC
Les nouveaux adhérents collectifs de l’ARC sont toujours très étonnés de constater l’ensemble des services que propose la coopérative technique de l’ARC, notamment en matière de groupement d’achat. Ils s’interrogent sur la façon d’obtenir les bons de commande pour bénéficier des tarifs négociés ou encore la façon d’avoir accès au portail de l’adhérent qui regroupe 8 outils internet.
Voici donc un tableau qui indique les liens internet permettant d’avoir accès aux informations ou aux sites :
BONS DE COMMANDE |
|
GROUPEMENT D’ACHAT |
SYNDIC BENEVOLE |
|
|
SITES INTERNET |
|
Rappelons que la coopérative technique, c’est aussi :
- des consultations techniques ;
- des entreprises référencées ;
- une aide à la lecture des documents comptables ;
- une assistance comptable pour les syndics bénévoles ;
- une assistance à la mise en place de l’audit énergétique et l’audit global partagé ;
- Etc.…
Voir ci-dessous les bons de commande
Retour sur la négociation des tarifs gaz. NEWSLETTER COPRO-GAZELEC du 27 juin 2014
Retour sur la négociation des tarifs gaz.
NEWSLETTER COPRO-GAZELEC du 27 juin 2014
Cette newsletter (qui a été adressée à tous nos adhérents collectifs) a pour objectif d’alerter les adhérents de l’ARC sur les pratiques de certains fournisseurs de gaz et aussi d’électricité dans le cadre de la mise en œuvre du dispositif de sortie des tarifs réglementés.
- Alerte sur les pratiques de GDF/SUEZ et de certains syndics
Plusieurs adhérents nous ont alertés sur les pratiques du fournisseur historique de gaz naturel, GDF/SUEZ, qui a transmis un courrier en avril et en mai aux syndics pour leur annoncer la politique de dérèglementation des tarifs du gaz prescrite par la Loi sur la Consommation du 17 mars 2014. Dans la foulée, ce fournisseur a transmis au syndic une offre avec un délai très court de réponse expliquant que les tarifs évoluant quotidiennement, il ne pouvait pas s’engager sur une longue durée (15 jours maximum).
Le syndic consulte alors le conseil syndical ou le syndic bénévole en lui demandant de répondre rapidement ce qui n’est pas du tout conforme avec le processus règlementaire d’approbation de ce type de contrat. En effet, pour le choix d’un nouveau contrat d’énergie, un vote en assemblée générale est nécessaire, ce qui n’est pas possible dans le contexte où il est demandé à la copropriété de prendre une décision en moins de 15 jours.
Si on examine rapidement la proposition reçue par un de nos adhérents (cf. ci-dessous), cette offre pourrait paraître intéressante du fait qu’elle conduit à une réduction des coûts actuels de 4,8%. Là où il y a problème, c’est qu’en lançant un appel d’offres via notre site COPRO-GAZ, la copropriété pourrait facilement obtenir entre 15 et 20 % de réduction par rapport aux tarifs règlementés. On comprend tout de suite quelle est la stratégie du fournisseur historique. En précipitant le mouvement de sortie des tarifs réglementés et avec l’aide, voire la complicité, de certains syndics, il espère conserver un maximum de copropriétés sans faire jouer une véritable concurrence au niveau des offres proposées.
Exemple évoqué ci-dessus
Courrier de GDF/SUEZ transmis au syndic
« Suite à notre échange téléphonique du Mercredi 28 Mai et comme prévu, veuillez trouver ci-dessous un résumé des différents points que j’ai pu aborder dans le mail de présentation de la nouvelle loi :
« Suite à une décision de la commission Européenne et du gouvernement français, les copropriétés consommant plus de 200Mwh par an devront passer du tarif réglementé actuel à un tarif de marché avant le 31 décembre 2014.
« Une fois proposé, un tarif de marché est « bloqué » par nos soins durant un certain nombre de jours ; au-delà, la proposition devient caduque et un nouveau tarif (à la hausse ou à la baisse, suivant l’évolution du marché) s’appliquera si une nouvelle proposition est formulée.
« En cas de validation du tarif proposé, celui-ci reste fixe pour une durée de trois ans, quelle que soit l’évolution du marché.
« Si le contrat proposé est accepté, celui-ci entrera en vigueur le 1er juillet 2014.
« Vous trouverez ci-dessous, comme convenu, les principaux éléments d’une simulation de tarif de marché pour la copropriété du …. Veuillez noter que ce dernier est TTC et qu’il a été calculé à partir de la Consommation Annuelle de Référence (la C.A.R.), et non à partir des consommations réelles de la résidence :
En TTC |
Votre tarif actuel |
Offre de marché Prix fixe (3 ans) |
Écart |
Durée de validité de l’offre |
||||
Consommation Annuelle de Référence(CAR) |
Budget Annuel
|
Prix Moyen Mwh |
Budget Annuel |
Prix Moyen Mwh |
En % |
En € |
En nombre de jours glissants |
Date limite |
537 Mwh |
29 525 € |
54,98 € |
28 105 € |
52,34 € |
4,8% |
1421 € |
15 |
13 juin |
« Le prix n’est pas un forfait. Vous ne payez que le nombre de kWh réellement consommés
« Il n’y a aucun engagement de consommation.
« Accès gratuit au compte en ligne avec possibilité d’historique de consommation sur 5 années glissantes et une relation commerciale privilégiée, avec notamment la mise à disposition d’une ligne directe de votre Responsable Commercial sur chacune de vos factures ».
Déjà épinglée par l’UFC Que Choisir pour ses pratiques anticoncurrentielles auprès de ses clients dans le cadre de la fin des tarifs réglementés de l’électricité, GDF/SUEZ met en œuvre également, pour la sortie des tarifs réglementés du gaz, des pratiques qui ont pour principal d’objectif de contrer les effets forcément favorables aux clients d’une véritable mise en concurrence des offres de marché du gaz.
- Que faire si vous êtes dans cette situation ?
Il convient surtout de prendre son temps et de dire au syndic qu’il est impératif de faire un appel d’offres auprès des fournisseurs référencés par l’ARC via le site COPRO-GAZ.
Il faut arrêter avec le syndic le processus d’approbation du nouveau contrat avant le 31 décembre 2014 (pour les copropriétés qui consomment plus de 200 000 kwh/an) ou le 31 décembre 2015 (pour celles qui consomment entre 150 000 et 200 000 kwh/an) à mettre en place en fonction du calendrier de votre assemblée générale ordinaire.
Les bonnes questions à se poser si votre copropriété est concernée par une des deux échéances :
Est-ce que le calendrier de la prochaine assemblée générale ordinaire est compatible avec l’échéance de sortie des tarifs réglementés?
Faut-il organiser une assemblée générale exceptionnelle ?
Est-ce que la décision peut-être prise au niveau du conseil syndical, en accord avec le syndic, et l’approbation régularisée lors de l’assemblée générale ordinaire postérieure à l’échéance ?
- Que faire si vous avez été pris de court ?
Si votre syndic a déjà signé un contrat avec le fournisseur historique après avoir « arraché » un accord de votre part en vous mettant la pression pour des raisons de durée de validité de l’offre, n’hésitez pas à contester cette signature en insistant sur le non-respect du processus réglementaire d’approbation.
En procédant ainsi et grâce au soutien de l’ARC, une copropriété adhérente vient de faire « casser » le contrat signé par son syndic avec GDF.
L’autre alternative, c’est de faire « supporter » par le syndic l’écart des coûts « supportés » par la copropriété du fait de la faute professionnelle du syndic.
- Recommandation pour les copropriétés disposant d’un contrat P1
Les copropriétés disposant d’un contrat P1 passé avec un chauffagiste n’ont pas la possibilité de négocier directement leurs tarifs avec des fournisseurs de gaz. Plusieurs adhérents ont malgré tout réussi à « bousculer » leur chauffagiste afin d’obtenir des tarifs plus intéressants que ceux pratiqués actuellement malgré les réticences de certains fournisseurs.
Leur démarche a été très simple. Ils ont demandé à leur chauffagiste les caractéristiques de leur contrat : PCE, CAR (Consommation Annuelle de Référence), Profil, etc. Ils ont ensuite lancé un appel d’offres via la plateforme COPRO-GAZ, ce qui leur a permis de recueillir des devis proposant une réduction des tarifs de 15 à 20%. Il leur a suffi ensuite de demander au chauffagiste d’aligner son contrat P1 sur l’offre la mieux-disante. Certains ont même réussi à faire « casser » le contrat P1 afin de pouvoir négocier directement avec les fournisseurs de gaz. C’est simple et cela rapporte gros !
- Pour en savoir plus sur la sortie des tarifs réglementés du gaz et de l’électricité ?
Des fiches sur la sortie des tarifs réglementés pour les copropriétés sont en ligne sur le site Energie-Info du Médiateur National de l' Energie.
- Gaz : www.unarc.fr/cpgp
- Électricité : www.unarc.fr/3me5
Ascenseur et « parachute en montée ». L’ARC a gagné
Ascenseur et « parachute en montée ».
L’ARC a gagné
« COMMUNIQUE DE PRESSE
Travaux d’ascenseur et fausse sécurité : l’ARC a gagné
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P.P.R.P. (Le plan de prévention des risques professionnels) : refusez !
P.P.R.P.
(Le plan de prévention des risques professionnels) : refusez !


L’ARC, le fonds travaux et le P.E.C. (Plan d’Épargne Copropriété)
L’ARC, le fonds travaux et le P.E.C.
(Plan d’Épargne Copropriété)

Le fonds travaux :
comment éviter le rejet ?
Comment entraîner l’adhésion de tous ?
une solution : le P.E.C. ou Plan d’Épargne Copropriété
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- Le « fonds travaux » : une avancée essentielle et porteuse d’une dynamique nouvelle de rénovation et de gros entretien des copropriétés (sans risque majeur d’impayés)
- augmentation des charges et difficultés financières de plus en plus importantes pour les copropriétaires occupants à faire face aux gros travaux, donc à voter les travaux nécessaires ;
- difficultés accrues par le vieillissement des immeubles, dont le parc « périphérique » des années 1960-1970 ;
- difficultés, dès lors, à faire voter tous les travaux nécessaires, ce qui entraîne la dégradation progressive (puis la paupérisation) de nombreuses copropriétés ;
- poids de plus en plus important des copropriétaires bailleurs, dont un certain nombre sont réticents ou ont des difficultés eux-mêmes à engager les travaux nécessaires au gros entretien des bâtiments ;
- à quoi se rajoutent des blocages plus spécifiques concernant les travaux d’amélioration thermique.
- d‘abord d’obliger les copropriétés à anticiper le gros entretien futur et la rénovation et à commencer à provisionner des fonds pour cela ;
- d’obliger - dès lors - à programmer les travaux et donc, pour cela, à engager les bilans et études appropriés ;
- d’éviter - le moment venu - soit des refus de vote soit des votes entraînant des impayés pathogènes (pour les copropriétaires concernés comme pour la copropriété).
- l’obsolescence des bâtiments ;
- ou pire : la dégradation irréversible ;
- enfin la paupérisation ou le développement de situations d’impayés incontrôlables.
- d'une part, neutraliser ce rejet ;
- d'autre part, mettre en place les conditions d’une adhésion à ce dispositif vertueux.
- L’hostilité certaine et spontanée d’une partie des copropriétaires à ce nouveau dispositif
- Le fonds travaux est perçu uniquement comme devant entraîner une augmentation mécanique des charges de 5 % (plancher du fonds travaux) alors que le niveau des charges est déjà ressenti comme insupportable
- Le fonds travaux est perçu comme une spoliation, car en cas de vente, ce « fonds » est désormais attaché au lot et non au vendeur.
- De nombreuses personnes estiment qu’elles sont bien capables - seules - de placer leur épargne et ceci à de meilleures conditions qu’en confiant cet argent au syndic.
- De nombreux bailleurs estiment, par ailleurs, que cette nouvelle obligation va écorner un peu plus la rentabilité locative…
- Les différentes raisons qui risquent d’amplifier le rejet
- Les honoraires supplémentaires du syndic liés à la gestion des « fonds »
- Il est à peu près certain que de nombreux syndics vont - d’une façon ou d’une autre - facturer la gestion des appels de fonds travaux, surcoût qui ne manquera pas de créer un rejet supplémentaire.
- L’augmentation des honoraires de syndics liés à la gestion des comptes rémunérés et aux déclarations de produits bancaires pour chaque copropriétaire
- En plus du travail lié aux appels de fonds, les syndics seront tentés de facturer des honoraires pour le placement des fonds et pour le travail lié à la déclaration des intérêts perçus. En effet, en raison du caractère fiscalement transparent des syndicats de copropriétaires (ce qui empêche les prélèvements libératoires), le syndic est (en principe) obligé d’adresser à chaque copropriétaire le montant de la quote-part des intérêts perçus, pour qu’ils puissent l’intégrer à leur déclaration d’impôt.
- L’augmentation des primes de « garantie des fonds mandants » se traduisant par des coûts supplémentaires
- Plus préoccupant encore : les caisses de garantie - qui calculeront la « pointe » des fonds détenus en intégrant les fonds travaux - augmenteront les primes en conséquence, augmentations qui seront, elles aussi, répercutées sur les copropriétaires, accroissant ainsi leur mécontentement.
- Les risques quasi certains d’un « contournement » total ou partiel par les syndicats de copropriétaires de l’obligation nouvelle
- Face à la « fronde » d’un certain nombre de copropriétaires, il y a à craindre que les fonds travaux soient purement et simplement rejetés en assemblée générale, un certain nombre de syndics ayant déjà annoncé qu’ils laisseraient faire.
- En effet la loi oblige les copropriétés à voter, ceci même simplement pour ratifier le niveau plancher obligatoire du fonds travaux (soit 5 % du budget prévisionnel) : « Le montant, en pourcentage du budget prévisionnel, de la cotisation annuelle est décidé par l’assemblée générale votant dans les conditions de majorité prévues aux articles 25 et 25-1. ce montant ne peut être inférieur à 5 % du budget prévisionnel mentionné à l’article 14-1 ».
- Dès lors certaines assemblées générales appelées à voter ce fonds refuseront la constitution d’un tel fonds (ou créeront des fonds symboliques à 1 %) et les syndics - après le délai de forclusion de l’article 42 - estimeront que la décision (non annulable) s’appliquera, même si elle n’est pas légale.
- Comment rendre positive, voire attractive, l’image du fonds travaux et éviter le rejet comme le contournement ?
- La sécurisation complète des fonds : les copropriétaires doivent être sûrs que les fonds ne seront PAS utilisés à autre chose et que le syndic ne peut pas y toucher.
- La simplicité fiscale : les placements doivent être simples et les produits financiers doivent être soit simplifiés fiscalement (prélèvements à la source), soit défiscalisés ; ainsi le travail des syndics sera lui-même très simple.
- L’absence de toute surprime éventuelle, imposée par la caisse de garantie au syndic.
- un dépôt collectif dont le montant sera plafonné à 10.000 euros par lot principal à usage d’habitation ou de commerce.
- Une rémunération de l’ordre de 2 % totalement exonérée.
- Un blocage des sommes sur un minimum de trois ans (sauf, éventuellement, en cas de travaux de sortie d’insalubrité ou d’urgence).
- Un déblocage possible uniquement sur présentation d’un procès-verbal d’assemblée générale.
- Réponse à quelques objections ou questions concernant le P.E.C.
- Pourquoi le P.E.C. ne va pas introduire une concurrence par rapport aux produits d’épargne à risque ?
- Pourquoi le P.E.C. ne coûtera pas un centime à l’État et permettra, au contraire, de rapporter de l’argent ?
- Pourquoi le P.E.C. va dégager du travail pour tous (bureaux d’études, entreprises) à échéance quasi immédiate ?
- la mobilisation des copropriétaires ;
- le lancement d’un audit ;
- le choix d’un scénario de travaux ;
- la désignation d’un maître d’œuvre ;
- le lancement d’une consultation d’entreprises par ce maître d’œuvre ;
- enfin le vote des travaux.
Compte rendu des réunions tenues avec les syndics sur la plateforme d’appels d’offres COPRO-GAZ
Compte rendu des réunions tenues avec les syndics
sur la plateforme d’appels d’offres COPRO-GAZ
I. Négocier les prix du gaz
II. Rencontrer les « petits » et moyens syndics
III. Les difficultés des petits syndics
- les réductions obtenues sont bien en deçà de celles procurées par COPRO-GAZ (entre 15 et 20% par rapport aux tarifs réglementés) ;
- elles doivent souvent supporter les frais d’un bureau d’études thermiques mandaté par le syndic pour suppléer son incapacité à gérer un véritable appel d’offres ;
- elles s’exposent aux pratiques fortement contestables du fournisseur historique (GDF/SUEZ) qui propose au mieux une réduction de 5% par rapport aux tarifs règlementés.
IV. Le problème particulier du P1
Copropriété neuve: comment prendre livraison des parties communes, Dossier mis à jour suite à la loi ALUR
Copropriété neuve:
comment prendre livraison des parties communes,
Dossier mis à jour suite à la loi ALUR
En juin 2013, l’ARC a mis à la disposition de ses adhérents un dossier expliquant ce qu’était la livraison dans les immeubles vendus en VEFA et comment faire avec le promoteur.
Ce dossier a été mis à jour suite à la loi ALUR.
Le point important est l’obligation de mettre en concurrence le syndic provisoire désigné par le promoteur, lors de la première assemblée générale.
Si vous voulez savoir : QU’EST-CE QUE LA LIVRAISON
et surtout : À QUOI SERT LA LIVRAISONDES PARTIES COMMUNES,
lisez notre dossier.
N’hésitez pas à nous contacter si vous rencontrez de difficultés dans votre nouvelle copropriété (nombreuses malfaçons, syndic provisoire peu attentif à la reprise des désordres, etc.)
Vous trouverez d’autres notes sur les « nouvelles copropriétés » :
Copropriétés neuves : comment prendre livraison des parties communes, un nouveau dossier de l’ARC
RETENEZ BIEN VOS DATES POUR LE PROCHAIN SALON DE L’ARC ET DE L’UNARC DES 15 ET 16 OCTOBRE 2014
« Copropriétés neuves et charges de copropriété : un arrêt de la Cour de Cassation nous donne raison »
« Nouvelles copropriétés : la loi ALUR oblige à mettre le syndic de promotion en concurrence comment faire en réalité ? »
« L’arc aide ses adhérents dans les nouvelles copropriétés : quand six ans plus tard un syndic continu à abuser les nouveaux acquéreurs le dossier »
La réponse du président de FONCIA au président de l’ARC
La réponse du président de FONCIA au président de l’ARC


