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Communiqué de Presse « Conférence Salon » plus conférence de Presse

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Communiqué de Presse

« Conférence Salon » plus conférence de Presse

 
Paris le 14 Octobre 2014
Mesdames, Messieurs,
 
Comme  nous vous l’avions déjà écrit :
 
  1. Le 15 octobre 2014 à 9 heures, l’ARC et l’UFC-Que-Choisir dévoileront publiquement leur guide gratuit sur leur contrat-type (cf. illustration ci-contre) en présence du rapporteur de la loi ALUR à l’Assemblée Nationale, ceci dans le cadre de la conférence inaugurale de notre Salon Indépendant de la Copropriété. Ce guide expliquant notre démarche commune vous a été adressé ce jour par un communiqué commun de l’ARC et de l’UFC Que Choisir (cf. document ci-dessous).
  1. À l’issue de cette conférence, une conférence de Presse aura lieu où nous répondrons à toutes vos questions sur ce même sujet :
  • pourquoi ce contrat-type ?
  • où en sont les décrets d’application de la loi ALUR ?
  • comment introduire une vraie concurrence loyale et transparente entre les syndics ?
  • pourquoi les petits et moyens syndics adhérent déjà à notre contrat-type ?
  • etc.
 
Cette conférence de Presse aura lieu :
Le mercredi 15  octobre à 11 heures à l’espace VIP
 Du Salon Indépendant de la Copropriété de l’ARC et de l’UNARC
L’Espace Charenton
327, rue de Charenton – 75012 PARIS
 
Nous espérons vivement que vous pourrez être présent et nous vous prions d’agréer, Mesdames, Messieurs, l’assurance de nos salutations distinguées.
 
Jean-Claude BOUILLET                                                                              Bruno DHONT
 
Président                                                                                                      Directeur général.
 
 
 
 
COMMUNIQUE DE PRESSE
DE L’ARC ET DE L’UFC Que Choisir
DU 14 octobre 2014

Guide pratique sur les Contrats de syndics :

Face à l’inaction des pouvoirs publics, un lot de conseils et un contrat-type au service des copropriétaires

Alors que les décrets d’application de la loi ALUR concernant les contrats de syndic se font toujours cruellement attendre plus de 6 mois après le vote de la Loi,  l’UFC-Que Choisir et l’ARC  passent à l’action afin de permettre aux copropriétaires de bien négocier leur contrat de syndic lors de leur AG 2015. Les deux associations mettent gratuitement à disposition, sur leurs sites internet, un contrat-type et un guide pratique avec des conseils et des outils simples pour mettre efficacement en concurrence les syndics et ainsi assainir leurs pratiques contractuelles et tarifaires.

Faute de décrets définissant la teneur du « contrat type » de syndic, ainsi que la liste limitative des prestations supplémentaires, et le montant plafond des frais dits « privatifs » - les copropriétaires vont continuer - malgré la loi ALUR – à avoir les plus grandes difficultés à faire jouer la concurrence entre syndics et à comparer les différents contrats. En effet, le grand lot de prestations payantes supplémentaires - une trentaine en moyenne - et les faux forfaits « tout compris», rendent pratiquement impossible toute anticipation du montant total réel des honoraires du syndic.
Par exemple, pour une copropriété de 170 lots, un syndicat de copropriétaires a pu retenir un syndic A affichant un forfait annuel de 133 € par lot/an au détriment du syndic B affichant 150 € par lot/an, alors qu’in fine avec le jeu des prestations particulières payantes, il s’est acquitté de 183 € par lot/an (soit 38% d’augmentation) alors qu’à prestations équivalentes le syndic B  avait un tarif annuel de 163 € par lot/an, soit 11 % moins cher.
Cette jungle tarifaire n’a d’égale que la prolifération de clauses abusives dans les contrats de syndics. La dernière étude de « l’Observatoire des syndics » de l’ARC et de l’UFC-Que Choisir en mai 2014 a montré qu’en moyenne 17 clauses abusives/illicites perdurent dans les contrats des gros groupes qui représentent près de 70% du marché.
C’est pour éviter aux copropriétaires ces pièges multiples que l’UFC-Que Choisir et l’ARC diffusent donc un guide pratique gratuit comprenant :
  • des informations et conseils face aux nouvelles obligations légales de la Loi ALUR ;
  • le « contrat type » élaboré par les deux associations après discussion et validation d’un certain nombre de syndics ;
  • des principes directeurs pour les négociations avec les différents syndics.
A la fois pédagogique et concret, ce guide entend être un outil, un cahier des charges à destination des copropriétaires pour qu’ils puissent faire jouer efficacement la concurrence entre syndics et rééquilibrer le rapport de forces entre les syndics et les copropriétés. Au-delà de cette initiative concrète, l’ARC et l’UFC-Que Choisir pressent une nouvelle fois les pouvoirs publics de publier les décrets tant attendus sur les syndics, et, ce, après avoir organisé une véritable consultation des parties prenantes, au-delà du seul Conseil National de la Gestion et de la Transaction immobilière.
 

Les nouveaux statuts de l’ARC

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Les nouveaux statuts de l’ARC

 

Au cours de son assemblée générale extraordinaire, l’ARC a amélioré sensiblement ses statuts. D’un côté elle a réduit le poids des adhérents « individuels » au Conseil d’Administration, de l’autre elle a mis en place des règles permettant des relations harmonieuses et efficaces entre le Conseil d’Administration de l’association, la Direction générale et les salariés.

 

En ce qui concerne les adhérents individuels (qui représentent 7 % des adhérents et 0,40 % de cotisations) l’assemblée générale a tenu à rappeler :

 

  • que l’ARC était d’abord et essentiellement une association de responsables de copropriété (conseils syndicaux et syndics bénévoles) ;
  • que les adhérents individuels devaient :
  • soit renter au conseil syndical de leur copropriété ;
  • soit (en cas de passivité du conseil syndical ou de collusion avec le syndic) engager une démarche avec d’autres copropriétaires (un « groupe » de copropriétaires) pour améliorer le fonctionnement de la copropriété.

 

L’ARC a d’ailleurs mis en place pour cela une adhésion de groupe (voir : www.unarc.fr/yc7t) qui permet de répondre à toutes les questions que pourrait se poser un groupe de copropriétaires (encore minoritaires pour devenir majoritaires).

 

Les adhérents intéressés peuvent découvrir les nouveaux statuts de l’ARC et dans la partie du site consacrés à l’ARC : « Mentions légales » .

 

Un Salon indépendant organisé par l’ARC de plus en plus fréquenté et apprécié

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Un Salon indépendant organisé par l’ARC de plus en plus fréquenté et apprécié

 
Le sixième Salon indépendant de la Copropriété de l’ARC confirme l’intérêt grandissant des responsables de copropriété pour cette manifestation qualifiée par tous de :
 
  • très conviviale, voire cordiale ;
  • très enrichissante via ses conférences, ateliers, documentations, très nombreux guides gratuits ;
  • opportunité inégalée de rencontrer des professionnels - dont une grande partie est référencée - donc déjà « contrôlée » par l’ARC.
 
Nous allons progressivement mettre en ligne les Power points et compte-rendu des conférences et ateliers.
 
En attendant, vous pouvez :
 
  1. si vous n’êtes pas adhérents, vous procurer « Le Guide de la Gestion Technique et des Services en Copropriété 2015 »
 
 
 
 
2. Télécharger notre guide ARC/UFC-Que-Choisir  sur le nouveau contrat-type de syndic
 
 
 
 
 
3. Si vous êtes adhérents collectifs, accéder aux nouveaux guides gratuits de la collection comment faire :
 
     
 
 
 

Le nouveau catalogue des guides, dossiers et sites gratuits de l’ARC

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Le nouveau catalogue des guides, dossiers et sites gratuits de l’ARC

 

Voici la nouvelle couverture de notre nouveau « catalogue » thématique 2015 des guides et sites de l’ARC :

 

 

 

 

 

 

 

 

A noter que nous sommes passés en 2015 de 52 à 62 guides gratuits (souvent, mais pas uniquement, réservés à nos adhérents collectifs) !

 

Vous pouvez consulter ce catalogue à l’adresse suivante : www.unarc.fr/my4x.

 

 

Copropriété-Services. Le guide 2015 de la gestion technique et des services en copropriété

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Copropriété-Services.

Le guide 2015 de la gestion technique et des services en copropriété

 

 

Le « Guide 2015 de la gestion technique et des services en copropriété » (rédigé par notre coopérative Copropriété-Services) est arrivé avec le Salon. Vous pouvez :

 

  • soit venir le chercher à l’ARC ;
  • soit nous envoyer 5 € (et votre adresse exacte ! ) pour que nous vous l’adressions par la Poste.

 

 

En voici le sommaire :

 

 

Aide à l’analyse du grand-livre comptable et des annexes comptables

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Aide à l’analyse du grand-livre comptable et des annexes comptables

 
De plus en plus de conseillers syndicaux se mettent (et ils ont raison) à étudier le « grand-livre comptable », document très intéressant et très instructif qui permet de repérer (puis de corriger) de nombreux problèmes, de mieux maîtriser les charges et la gestion financière.
 
  • Mais ce n’est pas toujours facile.
 
Pour aider nos adhérents, rappelons que nous avons rédigé un guide GRATUIT téléchargeable à l’adresse suivante : www.unarc.fr/3wrk , in-dis-pen-sable à lire.
 
 
  • Par ailleurs, pour aider ceux qui le souhaitent à lire leur « Grand-livre comptable » ou les annexes comptables obligatoires, nous venons de mettre en place un nouveau service (toujours pour nos adhérents collectifs) dont vous trouverez le descriptif complet dans le dossier : « Nouveau service de l’ARC : aide à l’analyse des documents comptables (grand-livre et annexes) » voir : « Nouveau service de l’ARC : aide à l’analyse des documents comptables (grand-livre et annexes) ».
 

« Les clés de la rénovation » et l’ARC : le rendez-vous vidéo du 12 novembre 2014 pour tout savoir sur la rénovation énergétique

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« Les clés de la rénovation » et l’ARC :

 le rendez-vous vidéo du 12 novembre 2014 pour tout savoir sur la rénovation énergétique

 
  1. Le CLER et l’ARC

Le CLER est le réseau pour la transition énergétique, qui a pour objectif de promouvoir les énergies renouvelables, la maîtrise de l’énergie, et, plus largement, la transition énergétique.
 
L’ARC et le CLER travaillent régulièrement ensemble sur ces sujets, et ont par exemple mis en place, en partenariat avec Planète Copropriété, le site internet dédié à la rénovation des copropriétés : www.coproprieterre.org.
 
  1. Un rendez-vous vidéo mensuel sur la rénovation énergétique

Voici la présentation de ce rendez-vous par le CLER :
« Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la Rénovation Énergétique, sans jamais oser le demander... Chaque deuxième mercredi du mois à 18h, venez poser en direct vos questions à nos invités. Des experts conseillers du service public de la rénovation énergétique et d’autres spécialistes du réseau CLER vous répondent en vidéo, afin que vous puissiez réussir votre projet de rénovation et réduire vos factures d’énergie !
 
Le premier numéro « live » du 8 octobre 2014 répondait à la question "Qu'est-ce que la performance énergétique d'un bâtiment ? Les principes de base." Vous pouvez revoir l'émission sur www.clesrenov.org ».
 
 
  1. L’intervention de l’ARC et de l’APC le 12 novembre : Mener un projet de rénovation énergétique au sein d'une copropriété

Le prochain rendez-vous aura lieu mercredi 12 novembre 2014 à 18h, avec pour invités l’ARC (Julien Allix et Renaud Dhont) et Emmanuel Perais de l’APC (Agence Parisienne du Climat).
Pour plus d'informations et pour que nous répondions le plus précisément possible à vos questions, vous pouvez envoyer dès aujourd'hui vos questions sur www.clesrenov.org
 
 
En attendant vous pouvez aussi lire avec beaucoup de profit notre dernier ouvrage ARC/VUIBERT de la collection « Les essentiels » concernant les problèmes de rénovation :
 
 
 
 
 

Répartiteurs de frais de chaleur : la fausse bonne solution. Lettre aux sénateurs

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Répartiteurs de frais de chaleur :

la fausse bonne solution. Lettre aux sénateurs

  1. Loi de transition énergétique et répartiteurs

Nous revenons sur ce sujet à l’occasion du vote de la loi de transition énergétique qui - dans son article 7 - non seulement tombe dans le « piège » du répartiteur de frais de chauffage, mais pourrait introduire des sanctions si les copropriétés concernées ne posaient pas ces répartiteurs coûteux et globalement peu utiles, voire créateurs d’effets pervers (voir ci-dessous).
 
Les lobbies ont fonctionné à plein régime (menés par ISTA) et les députés (à qui on promet 10.000 emplois !!!)  sont tombés dans le miroir aux alouettes.
D’où une nouvelle intervention de l’ARC auprès des sénateurs qui vont bientôt avoir à se prononcer sur ce projet de loi.
  1. La lettre de l’ARC aux sénateurs

« Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur,
 
 Nous revenons vers vous concernant l’article 7 du projet de loi sur la transition énergétique. Dans sa forme actuelle, cet article est extrêmement dangereux, car injuste, coûteux et contreproductif par rapport aux objectifs d’économie d’énergie annoncés ; toutefois, avec une légère modification, il pourrait être rendu extrêmement efficace.
 
Rappelons que les copropriétés qui sont en chauffage collectif, et qui sont énergivores doivent s’équiper avant le 1er avril 2017 de dispositifs de comptage de chaleur pour permettre l’individualisation des frais de chauffage en fonction de la consommation de chaque logement. Les copropriétés en chauffage collectif dont la consommation est suffisamment basse en sont dispensées.
 
Or, par rapport à la situation actuelle, l’article 7 du projet de loi sur la transition énergétique va autoriser le Gouvernement à instaurer, par ordonnance, un régime de sanctions pour la non-mise en place de ces dispositifs.
 
Quel est l’argument avancé par les vendeurs de « répartiteurs » de frais de chauffage en faveur de leurs équipements ? Ils annoncent que ces équipements inciteraient, pour un prix modéré, les copropriétaires à faire des économies, car leur facture énergétique dépendra de leurs consommations.
 
Toutefois, il y a loin de ce tableau rêvé à la situation telle qu’on la constate sur le terrain :
 
  1. L’individualisation est un dispositif peu efficace. L’Agence Parisienne du Climat - particulièrement spécialisée sur ce sujet - retient les chiffres de 5 à 15 %. On est loin des 15 à 20% du Syndicat de la Mesure (5 % c’est trois fois moins que 15%).
 
  1. C’est un dispositif coûteux, avec une économie généralement de l’ordre de 70 euros pour un coût de facilement 100 euros, car il faut ajouter aux frais de relevés-location, les honoraires du syndic (nous avons ainsi dénoncé publiquement le cas d’un gros syndic parisien – le cabinet DEGUELDRE – qui, pour ses seuls honoraires supplémentaires, prélève 10 euros par an et par radiateur, soit 60 euros pour un F4 pour les seuls honoraires de syndic...).
 
  1. Les sociétés qui vendent ces répartiteurs (la société Ista notamment) privilégient la quantité et la rentabilité à court terme plutôt que la qualité à long terme, ce qui fait obstacle à l’objectif du législateur de répartir les frais de chauffage en fonction des consommations individuelles. Ces sociétés font ainsi l’objet de nombreuses plaintes récurrentes de la part des copropriétaires : équipements partiellement installés, non réparés malgré de multiples relances, attribués par erreur à un autre logement, etc. Les abus sont multiples, et facilement accessibles sur notre site internet.
 
  1. C’est un dispositif injuste et inéquitable : les locataires ou copropriétaires qui doivent chauffer leur logement en permanence sont en général les retraités, les sans-emplois, et les personnes fragiles ou malades ; ceux qui ont le moins besoin de chauffer leur logement sont les actifs ; avec ce dispositif, on accroit la précarité des plus précaires et on aide ceux qui n’en n’ont pas besoin. En corollaire, on crée des conflits dans la copropriété.
 
  1. Enfin, et surtout, l’individualisation des frais de chauffage est contreproductive. En effet, croire qu’il constitue une solution au problème de la transition énergétique en copropriété relève d’un fantasme dangereux, car il va en fait dissuader les copropriétaires de mettre en œuvre un programme de travaux ambitieux en termes d’économies d’énergie (-38%, voire encore mieux avec le BBC-rénovation), tel que le prévoit la réglementation sur l’audit énergétique, obligatoire pour 2017 lui aussi. Les projets de rénovation en copropriété prennent nécessairement 3 à 5 ans, et d’ici au 1er avril 2017, bien peu auront eu le temps de mettre en œuvre les mesures (bien plus ambitieuses) que doit identifier leur audit. De plus, en terme de « dynamique » de copropriété, on favorise une approche individualiste, là où le problème est collectif : il faut décider ensemble, lors d’une assemblée générale, du projet de rénovation pour un immeuble collectif.
 
Notre proposition, qui n’implique qu’une très légère modification de l’article 7 :
 
Imposer des sanctions dès 2017 serait contre-productif. Mieux vaut fixer une échéance plus tardive (2020 ou 2022) pour laisser aux copropriétés le temps de réaliser de vrais travaux d’économie d’énergie. Cela incitera les copropriétés à réaliser des travaux d’économies d’énergie ambitieux. Les seuls bénéficiaires de la mesure actuelle seraient les vendeurs de répartiteurs et les vendeurs d’énergie.
 
En pièces jointes, ou en suivant ces liens, vous trouverez plus de précisions sur chacun des points abordés :
 
 
Nous sommes à votre disposition pour tout échange à ce sujet.
 
 Bruno DHONT
Directeur général de l’ARC ».
 
 

L’« application » gratuite du site de l’ARC ou : comment ne pas perdre trop de temps dans les transports en commun

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L’« application » gratuite du site de l’ARC ou : comment ne pas perdre trop de temps dans les transports en commun

 
Plusieurs milliers d’internautes ont déjà téléchargé « l’appli » du site de l’ARC.
Conséquence :
 
  • gain de temps ;
  • lecture plus facile.
 
 
 
Nous vous rappelons que l’application actuellement téléchargeable est la version « 1 ». Très prochainement, des mises à jour seront disponibles afin de rendre l’application encore plus fonctionnelle et efficace.
La version « » permettra entre autres d’être alerté, dès la publication d’un nouvel article en rapport avec le ou les thèmes que l’utilisateur souhaite suivre.
Pour ceux qui n’ont pas encore téléchargé l’application, trois solutions s’offrent à vous :
 
 
POUR LES UTILISATEURS ÉQUIPES D’UN :
I PHONE
ANDROID
 
  1. VOUS POUVEZ VOUS RENDRE SUR:
APPLE STORE
GOOGLE STORE
ET TAPER SUR LA BARRE DE RECHERCHE : l’ARC COPROPRIÉTÉ
  1. OU BIEN FLASHER le « qrcode » suivant :
 
 
  1. OU BIEN ENCORE TAPER L’ADRESSE SUIVANT SUR LE MOTEUR DE RECHERCHE Internet DE VOTRE SMARTPHONE
 
 
 
 
 
 
 
 

Communiqué de Presse Le projet de contrat-type de syndic du CNTGI : les syndics professionnels contre les copropriétaires

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Communiqué de Presse

Le projet de contrat-type de syndic du CNTGI :

les syndics professionnels contre les copropriétaires

 
 
 
Alors que les deux ministères (Logement et Justice) nous annoncent depuis des semaines la parution du décret « contrat de syndic » pour la fin d’année, l’association Plurience (qui regroupe les quinze plus grands syndics de France et qui est présidée par le PDG de Foncia…) a réussi à faire adopter son projet de contrat-type par le CNTGI, contrat qui est pour nous, très négatif.
 
A noter que le CNTGI - où les professionnels sont majoritaires et veulent imposer leur loi - a d’ailleurs outrepassé ses prérogatives, puisque la loi dispose qu’il doit uniquement donner son avis sur des textes gouvernementaux, non les produire...
 
Le plus inquiétant est ceci : ce contrat-type (destiné à forcer la main aux ministères) est très défavorable aux copropriétaires, les syndics ayant réussi à faire passer à peu près tout ce qu’ils voulaient.
 
Nous avons donc saisi immédiatement, non seulement les ministères concernés (Madame PINEL, Logement et Madame TAUBIRA, Justice) et leurs services en leur adressant une note de six pages et allons engager une action avec l’UFC-Que-Choisir.
 
Voici à titre d’exemple certains des points négatifs de ce projet de contrat-type :
 
  1. La liste des prestations particulières collectives y est toujours très longue (neuf prestations ou séries de prestations) et comprends des prestations incontrôlables, mais aussi éminemment contestables, par exemple :
 
  •  « gestion et suivi des sinistres », ceci sans aucun seuil minimum ;
  • « gestion des urgences, y compris en journée », etc.
 
  1. On y trouve des dispositions restrictives lourdes de conséquences :
 
  • Ainsi, pour l’assemblée générale annuelle ou les réunions du conseil syndical, le contrat prévoit un minimum très restrictif (exemple : 2 heures jusqu’à 20 heures pour l’assemblée générale annuelle) qui sera - dans la plupart des cas - la règle contractuelle entraînant des vacations supplémentaires coûteuses pour les inévitables dépassements.
 
 
 
  1. Certaines prestations courantes sont en régression par rapport à l’arrêté NOVELLI du 19 mars 2010 :
 
  • l’établissement du Document d’Évaluation des Risques pour la Santé et la Sécurité des Travailleurs (D.U.E.R.S.S.T.) n’est plus dans la liste de base ;
  • les modalités de base des visites d’immeuble (exemple : présence du conseil syndical, durée, compte-rendu écrit) ne sont plus obligatoires ;
  • les contrats d’assurance n’ont plus à être soumis au vote de l’assemblée générale !
 
 
  1. Les prestations privatives (qui devraient être limitées au strict minimum et être plafonnées) s’envolent, seront incontrôlables et pour certaines illégales, par exemple :
 
  • constitution du dossier, remise à l’huissier ou à l’avocat ;
  • élaboration et suivi d’un « protocole d’accord » (source d’abus certains et légalement non facturables) ;
  • application systématique et payante d’une deuxième lettre de mise en demeure, etc.
 
  1. Le contrat-type est par ailleurs curieusement muet sur de nombreux points importants, par exemple :
 
  • la mise en concurrence des banques ;
  • les placements des excédents de trésorerie courante ;
  • les notifications par voie électronique.
 
  1. Enfin on y repère même des « astuces » ainsi l’état daté (en cas de mutation d’un lot de copropriété) sera plafonné mais pas l’actualisation de l’état daté. Or il y a toujours - désormais - une actualisation, facturée très chère !
 
Nous reviendrons très vite sur ces problèmes.